venez raconter votre tout premier pas de future maman

et si on racontait la façon dont on a appri l'existence d'un petit bb au plus profond de notre bidon?
comment ça s'est passé, comment on a réagit, comment on l'a annoncé etc.

oh, oui, bonne idée, des histoires !!

hihi alors je me lance en prem's!

J'ai été faire une pds sans trop y croire et en disant à l'infirmière qui m'a piqué j'le fais pour ne plus avoir à attendre mes règles en espérant pour rien! Parce que j'ai déjà tellement était décu que je veux pas me faire encore de faux espoirs.

Le soir, très calme, j'vais cherché les résultats en me disant bon allez j'vais chercher un négatif j'sais même pas pourquoi j'y vais.
Et puis je récupère l'enveloppe je l'ouvre même pas je paye et je m'en vais. Une fois dans la voiture je regarde quand même la feuille et là le premier mot qui me saute au pif c'est POSITIF!!!

J'me suis mise à faire des bonds dans ma voiture et pis après j'arretais pas de dire : oh merci mon dieu merci mon dieu j'étais complétement hystérique!

Pis je suis revenue au cabinet, j'ai posé la feuille bien à plat sur le bureau et là j'ai commencé à douter sérieux parce que la façon dont c'était écrit on avait l'impression que pour être positif fallait que ca soit supérieur à tant et plus loin mon taux alors je comprenais plus rien j'savais plus si c'était bon ou pas on était en stress avec mon homme, et puis finalement j'ai eu une copine sur msn qui a appelé une autre copine à elle qui bosse dans un labo pour me dire que oui c'était bien bon en fait!
enfin c'était n'importe nawak! le SNU m'a pris en pleine poire dès que j'ai eu ce papier entre les mains!

je commence!


JUNE

ça faisait 3 ans que nous attendions une bonne nouvelle, j'avais eu plusieurs traitements, une opération, une IAC, une FIV ICSI? le tout sans résultat!
lors de la ponction, nous avions récolté pas mal d'ovules et il restait 4 beaux embryons congelés donc nous étions repartis pour un transfert d'embryons congelés.
j'ai donc suivi un nouveau traitement, un nouveau déclenchement d'ovulation et nous devions nous rendre à la clinique le 4 février pour le transfert mais attendre qu'on nous appelle pour confirmer que les embryons étaient bien vivants .
A 8h30 on reçoit un appel qui nous dit qu'aucun embryon n'a survécu
étrangement je ne suis pas si abattue que ça, je décide même d'arrêter de fumer quand même alors que j'aurai plus que jamais besoin de ça...
les 15 jours qui ont suivi, je me sentais bizare mais aprés toute cette attente, on ne fait plus confiance en ses ressentis, on n'ose pas y croire...
Au bout de 15 jours je perds un peu de sang et là, je crois que tout espoir est mort, que mes régles arrivent et qu'on est parti pour tout recommencer.
Finallement ces régles ne se déclenchent pas et je commence à retrouver espoir.
le mercredi soir, en sortant du travail je vais à la pharmacie acheter deux tests et j'en fais un tout de suite en rentrant. Ce test est négatif mais au bout de plusieurs dizaines de minutes, je vois un petit rond aux contours pas nets et en transparence, je n'ai aucune raison d'y croire mais je m'accroche et pendant toute cette soirée, je ne vais cesser d'aller le regarder (je l'ai planqué dans ma table de chevet)

le lendemain, je refais l'autre et même si il est un peu plus positif, il reste trés trés clair et j'ai trop de doutes.
je telephone donc au centre de PMA pour avoir une pds et je file la faire illico. L'infirmière est super et me promet un résultat au bout de 2 heures.

ces 2 heures vous l'imaginez ont été trés difficiles et quand enfin je prends mon téléphone en main, je tremble comme une feuille.
on me demande mon numéro de dossier et là on me dit:
-"il est encore trop tôt pour vous donner le taux..."
-"le taux???? ça veut dire que c'est positif?"
-"ah oui oui c'est bien positif madame"
-" euh merci madame au revoir"

je suis allée m'assoir incapable de rire, de pleurer, j'étais figée et ça a duré 10 bonnes minutes. Au bout de ce laps de temps les larmes sont arrivées et je ne peux même pas vous expliquer ce qui se passait dans ma tête, j'étais heureuse, soulagée, anxieuse, je me repassais toutes mes interrogations, toutes mes craintes de ne jamais entendre un enfant m'appeller maman...

ensuite je suis allée en vitesse acheter une BD du super papa a david et je lui ai scotché le test de grossesse dessus avec un mot en pensant qu'il ne comprendrait pas
quand il a lu le truc il m'a juste dit:
-"comment on a fait"

et là on s'est fait le plus gros câlin de toute notre histoire


TAO

aprés mon accouchement je n'ai pas voulu reprendre de contraceptif, j'ai laissé faire pérsuadée que ce deuxième enfant arriverait tout seul et assez vite.
le 29 octobre nous emmenagions dans notre maison et beaucoup de monde était venu nous aider, nous étions trés nombreux à la maison et je souffrais beaucoup de fatigue et de nausées mais rien d'autre, pas de seins gonflés, pas d'envies de pipi comme pour june etc.
mais au bout d'une semaine de nausées j'ai commencé à me poser des questions et par superstition idiote je suis retournée dans la même pharmacie que la première fois pour acheter un test de grossesse.
je l'ai fais un samedi matin avant d'aller au boulot alors que tout le monde dormait.
je l'ai posé sur le meuble et avant que je ne termine de le poser, il était déjà positif mon coeur à fait un saut en parachute, je n'arrivais pas à y croire, tout se chamboulait dans ma tête, j'étais surprise, heureuse, joyeuse, anxieuse...
j'ai sauté dans le lit pour réveiller david et lui mettre sous le nez!

alors évidemment c'était différent de la nouvelle pour june parce que nous étions déjà parents, il n'y avait pas de soulagement comme la première fois mais dans mon coeur, ce bb était mon petit miracle, un petit être exceptionnel qui a franchit bien des barrières pour venir à nous...

FLAV

j'adore ce genre d'histoires et de SNU qui débarquent plus vite que le bb grandit

pimoos a écrit:

-"comment on a fait"

La phrase qui tue c'est beau votre histoire! Des bébés miracles!

pimoos a écrit:

de SNU qui débarquent plus vite que le bb grandit

Clair c'était vraiment ca!

j'ai un cycle très très régulier, un jour de retard...je savais être enceinte et ce jour-là ma grand-mère est décédée...ce fut la semaine la plus triste en même temps la plus pleine d'espoir et de bonheur de ma vie...

je n'ai fait le teste que 4 jours plus tard, je n'avais aucun doute forcément vu mes cycles réguliers et les 5 jours de retard: alors je fais le test qui est positif je crie de joie en l'annonçant à zhom, qui me dit: t'as lu le mode d'emploi (chose que je ne fais jamais...) fallait attendre 4 minutes car la coloration au début c'est juste indicatif que le test a bien été réalisé...4 minutes extra-extralongues avant de pouvoir se dire "il est vraiement positif"

J'avais des cycles complètement anarchiques après l'arrêt de la pilule. Le 3e cycle, je décide de faire une courbe de température. Elle n'indique aucune ovulation. La gynéco me donne du Duphaston pour "réguler tout ça"... Au bout de 44 jours de cycle, je me désole de voir arriver mes règles.
Je descends les escaliers pour aller à la boulangerie (je précise que je ne sais pas ne pas courir dans les escaliers), la vache, j'ai super mal aux seins... Je file à la pharmacie, à la place et je rentre chez moi faire mon test.

Quand zhom est rentré du boulot, je lui dis "Bonjour, petit papa". Il y a eu un blanc, et puis "C'est vrai?" Et on a sauté dans les bras l'un de l'autre (et je pleurais déjà... Vive la grossesse).

Dans mon cas ça n'a pas été super romantique.
C'est la gynécologue que je voyais pour la deuxième fois qui me l'a appris.
Le genre de femme très froide et inhumaine
J'y allais pour régler un problème de cycles anarchiques et longs qui rendaient la conception d'un bébé pas forcément évidente.
Me voilà donc sur la table de torture et après examens, elle me fait une échographie, sans m'expliquer pourquoi.
Elle me fait juste "il y a quelque chose là", moi j'ai tout d'abord pensé à un kyste ou un truc dans le style.
Et non, le "quelque chose", c'était le bébé qui doit naître d'ici quelques jours
Je suis retournée toute tremblante au boulot, je m'attendais pas à cette nouvelle et du coup je l'ai pas annoncé comme je l'aurai rêvé à Pounet.
J'ai attendu quelques jours avant d'aller faire la prise de sang, comme elle me l'avait demandé et ça a confirmé cette grossesse.
Punaise, tout ça c'était en juillet et ça me parait tellement proche!

Hmmm. 11 jours à attendre entre le transfert de blastocystes et la PDS. Évidemment, pendant 11 jours, je me demande si j'ai déjà eu cette sensation-là, si mes seins ne seraient pas des fois un peu gonflés, si je n'aurais pas un peu la nausée...

Bref, au jour ovulation + 14, je fais un test pipi.
Qui met longtemps à se décider, mais fini par m'afficher une deuxième petite ligne rose. Très pâle. Au fond de moi, je sais que ça a marché et je suis super contente, mais j'ai peur qu'il soit trop tôt et que je sois déçue par la suite. Mon mari lui aussi marche sur des oeufs. Je ne sais pas trop quoi penser alors comme j'ai une grosse boîte de tests, j'en refais un le lendemain et un chaque jour suivant, et chaque jour après ça jusqu'à la PDS.

Malgré tout, je suis nerveuse, j'ai des noeuds dans l'estomac le matin de la PDS. On m'annonce qu'on m'appellera dans deux heures pour me donner le résultat. Je rentre chez moi, je me pose devant le forum avec le téléphone à côté de moi. Au bout de quatre heures, je ne ressemble plus à rien tellement je suis nerveuse, j'appelle le labo : oui, bien-sûr qu'on a vos résultats (ben, pourquoi vous ne m'avez pas appelée, alors ? ) c'est positif, avec un beau taux, bien élevé ! Je ris et je pleure en même temps, je suis perdue. C'est l'infirmière qui finit par me dire : faut raccrocher et appeler Michael maintenant !

Je rajouterai d'ailleurs que mes dernières règles dataient de fin mai (le 27 si je me souviens bien), que j'avais fait des tests qui se sont révélés négatifs, fin juin, début juillet (même un test sanguin)

Missty a écrit:

Je rajouterai d'ailleurs que mes dernières règles dataient de fin mai (le 27 si je me souviens bien), que j'avais fait des tests qui se sont révélés négatifs, fin juin, début juillet (même un test sanguin)

Comme quoi, les faux négatifs c'est pas un mythe... Confo, on sait jamais

Je suis quasi-certaine (on ne peut jamais être sûre, mais les glaires ont parlé ) d'avoir ovulé il y a 17 ou 18 jours, mais toujours pas de règles...



J'attends, on verra bien.

En tout cas, continuez vos histoires, j'adore !

confo, j'adore ton smile de voyante...on croise les doigts pour toi!!!

J'en avais marre de prendre la pillule, même sans bébé je voulais arrêter. Mon homme me disait depuis 18 ans qu'il ne voulait pas d'enfant. On faisait attention, puis un jour, pas attention... je lui ai dit "tu sais qu'un bébé peut arriver là". Il m'a répondu "mais non, c'est dans les films tout ça, faut pas croire tout ce qu'on dit". (C'est un petit rigolo ).
Deux semaines plus tard, pas de règles. Une semaine plus tard, j'achète un test. Je le fais un peu fébrile (je savais que ce serait positif)... et je vais chercher mon homme collé à son PC pour qu'on regarde le résultat ensemble. J'ai pris sa main. Positif. Il m'a prise dans ses bras. J'avais très peur de sa réaction... elle a été plutôt neutre.
Jusqu'à la naissance, il n'a pas émis d'avis positif sur le fait de devenir papa, c'était très abstrait. Depuis sa naissance, il est complètement fou de son fils, raide dingue (tombé amoureux au premier regard... mais faut dire que le regard d'Hélios nourrisson, c'était déjà quelque chose : j'avais accouché de deux grands yeux sombres avec un bébé autour !)

Clair, il a un de ces regards Helios !

alors, je n'ai pas encore lu vos messages, pour ne pas me laisser distraire par vos bonheurs

c'était il y a 8 ans et demi. Ca faisait quelques mois que nous étions ensembles avec Fabrice. J'habitais dans un studio en résidence étudiante, Fabrice chez ses parents. Nous étions encore étudiants tous les deux.
Quand j'ai fais le test , je savais déjà que j'étais enceinte. Et que je ne garderai pas ce bébé.
Souffrance. Culpabilité. voici ce que j'ai connu lors de ma première grossesse. Et pendant de longues années après elle. Ce bébé, il est toujours là, dans mon



David est arrivé après une longue attente. Il a été conçu lors d'une panne de chaudière, en plein hiver
Un peu d'angoisse, c'est ce que le "+" a rappelé en moi. Souvenir d'une grossesse arrêtée, je m'apprêtais à être au chomage... pas facile... et puis ça me faisait peur d'être maman. Des mois que je voulais, et quand c'est arrivé, plus personne!
et puis, l'ivresse de l'aventure m'a prise


Nicolas est venu dans un contexte plus cool (sauf le chomage de son papa...) et je me suis de suite projetée dans l'aventure!

Ouaip, moi j'attendrai d'estre motivée pour en parler.
Parce que c'était loin d'estre joyeux

Un peu la même histoire que Bouda pour le premier, j'étais en licence, on n'avait pas mis de capote une fois, et me voilà un dimanche à Paris à chercher une pharma ouverte et des toilettes publics.
Et 10 minutes plus tard un test positif dans le stoilettes de beaubourg...
Et je me suis senti ennivére et légère à la fois. J'ai appelé le papa (qui ne fut vraiment papa que 3 ans plus tard) et j'ai vite déchanté: inconcevable pour lui.
Je n'ai pas ressenti cette légèreté ennivrante mélangée à une énorme confiance en soi lors du 2ième test (celui de ma fille), peut-être cela n'arrive qu'une fois...
Mais j'étais heureuse biensûr, même si j'ai attendu la sensation un temps.
Pour ce premier éventuel bébé, lors d'une écho-pré- fausse-couche médicamenteuse, le gynéco a dit qu'il était "anormalement petit", l'idée qu'il n'aurait de toute façon pas survécu m'a réconforté.
Pour en revenir à ma puce, j'ai fait le test n'en tenant plus alors qu'un copain était à l'apéro et dès qu'il avait le dos tourné je faisais des signes à chéri pour lui dire "C'est ++++" à coups de gros clins d'oeil, on a festoyé un peu plus tard cachés dans l'abri de jardin alors que d'autres invités étaient arrivés pour l'apéro.
Dont ma belle-soeur qui ne buvait pas trop ce soir-là parce qu'elle essayait d'être enceinte et l'était déja sans le savoir! je lui ai montré mon test évidemment ce soir là! Sa fille est née 8 jours après la notre.

Quand j'ai rencontré mon homme, il m'a dit qu'il souffrait d'oligospermie et qu'il avait très peu de chance d'avoir un enfant. (il avait essayé pendant 3 ans avec son ex). Je ne me rendais pas compte de ce que ça pouvait impliquer, je faisais l'autruche. Et puis juste après notre mariage (4j), nous avons fait le plus beau de calins, je savais que c'était le moment idéal et j'ai vraiment ressenti que nous étions en train de créer ce petit être. Avant même la date présumée des règles, j'étais certaine d'être enceinte, ma poitrine avait vraiment changé et je me sentais différente. Mon homme n'y croyait évidemment pas, c'est lui qui a été acheter le test et nous avons regardé le résultat ensemble. il a beaucoup pleuré, au fond de lui, il avait fait une croix sur le fait d'être papa.
La grossesse n'a été que du bonheur, nous ne savions pas si c'était un super coup de bol où si c'est qu'il était guéri, alors on a profité à fond de ces moments.
Pour Emile, Gabriel avait 14 mois, j'avais eu le RDC depuis 2 mois et on rêvait d'enfants à 2 ans d'écart. On ne savait pas si ce serait aussi simple que pour son frère. Début février, j'ai senti que mon corps était prêt, je l'ai dit à chéri. On s'est dit qu'on essayait en se disant que 2 coups de bol ça ferait beaucoup, on n'y croyait pas trop. Finalement, 15 jours plus tard, test positif.
Ces 2 grossesses ont été des moments magiques.

c'est bouleversant des histoires comme ça!

Matrona a écrit:

j'avais accouché de deux grands yeux sombres avec un bébé autour !

C'est rien de le dire...

Ca faisait 4 ans qu'on essayait, et on se refusait l'un et l'autre à une assistance médicale pour y arriver. Notre histoire s'est terminée.
J'ai rapidement (sic) retrouvé un autre compagnon (pour vous donner une idée, j'étais depuis 10 ans avec mon mari) et je l'ai tout de suite mise à l'aise, je ne pouvais pas avoir d'enfant, si un jour il en voulait nous adopterions. Soit...
3 ans plus tard... pas de règles un mois, pas de règles deux mois, bon je vais peut être faire un test moi, et bingo, je suis enceinte et là il m'a fallu TRES longtemps pour réalisé ce qui était passé pour moi dans le domaine de l'irréalisable en ce qui me concernait. Donc le jour de mon anniversaire, je l'ai remercié de son cadeau... Il n' a pas été autant surpris que moi. Ce bébé a été conçu le jour de la St Valentin, nous préférons penser que c'était le lendemain, le jour l'anniversaire du papa. Et le premier regard avec Rodrigue a vraiment été le moment le plus fort de notre vie, il nous a tout de suite examiné l'air de dire "c'est donc vous", puis s'est mis à pleurer en se lovant contre moi!

Pour le second, nous avons fait le test le 31 décembre au soir, c'était notre voeu pour la nouvelle année, comme la première fois, j'ai eu du mal à réaliser que j'étais capable de ça! J'étais enceinte de pratiquement de deux mois ;-)

Ben voilà, je vais raconter aussi... j'avais arrêté la pilule plusieurs mois auparavant (marre des hormones) et j'observais mes cycles. Les jours à risque on utilisait soit les éponges spermicides soit les préservatifs féminins (meilleures sensations qu'avec la capote standard)...

Quand c'est arrivé, j'ai très bien vu que ça avait coulé à côté du préservatif... et je l'ai dit à mon homme. Il a dit: on verra bien.

La semaine suivante, je me disais: tiens c'est bizarre, j'ai jamais eu de syndrome prémenstruel et pourtant là j'ai mal aux seins et ça me tiraille dans le bas-ventre...

Je sais qu'entre le moment ou ma température décale et les règles, il y a toujours 12 jours... donc à un jour de retard, j'ai compris... deux jours de retard, j'étais sûre. J'ai fait un test : négatif. Re-test le lendemain, re-négatif, etc... jusqu'au 7ème jour de retard ou paf, résultat positif! Nous sommes quand même allés faire vérifier le résultat par un médecin...

Et à 6 semaines de grossesse, première écho (on voulait faire suivre la grossesse par une sage-femme et elle voulait une écho pour vérifier la date du terme)... et là: paf, surprise: Madame, y'en a 2! Avec le papa, on a piqué un fou rire! On était doublement parents!

Il nous a fallu une semaine pour réaliser et s'habituer au pluriel.