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 vaccination grippe

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Catherine

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MessageSujet: vaccination grippe   vaccination grippe EmptyLun 6 Juil 2009 - 16:11

Citation :
Fwd: Tr : La grippe A ...INFO ou INTOX ? >>> FAITES SUIVRE SVP >>>



S’organiser en défense !




Au vu des grandes manœuvres en préparation dans le camp des multinationales du médicament, nous allons être contraints de nous unir (en oubliant pour un temps nos “ego” surdimensionnés).


La campagne de propagande en faveur des vaccinations massives contre la grippe, prévue pour la rentrée de septembre, est tellement bien orchestrée que tout le monde attend le vaccin. En dehors du milieu très restreint des “alternatifs”, on n’entend aucune critique ni contestation des messages gouvernementaux diffusés actuellement à longueur de journée. Les agences de communication ont fait un travail admirable. La “com” devient propagande.

Il faut dire que les informations capitales révélées par Sylvie Simon dans ce numéro sont ignorées des grands médias.

Tout d’abord, elle nous révèle que Baxter International aurait créé un virus pandémique.

Ensuite, on découvre que Donald Rumsfeld, qui fut président de Gilead de 1988 jusqu’en 2001, lorsqu’il devint ministre de la Défense, détiendrait toujours plusieurs millions de dollars d’actions de l’un des laboratoires intervenant dans la fabrication du Tamiflu, médicament commandé par centaines de milliers de doses par les gouvernements en prévision d’une pandémie. De plus, non seulement le Tamiflu n’aurait pas les propriétés qu’on lui prête, mais il serait dangereux.

Comment ne pas s’étonner de la signature à Mexico, à l’occasion de la visite d’Etat du président Nicolas Sarkozy, d’un contrat portant sur la construction d’une usine de vaccin grippal. Cette usine sera construite et exploitée par Sanofi-Pasteur, la division vaccins du Groupe Sanofi-Aventis. Son but est de produire jusqu’à 25 millions de doses annuelles de vaccin contre la grippe saisonnière pour le marché mexicain d’ici à quatre ans.

Enfin, on apprend que cette grippe s’est développée dans un territoire où de nombreuses personnes sont malnutries. Au Mexique, comme dans d’autres pays, on meurt encore de ne pas manger à sa faim.



Après avoir lu l’article de Sylvie Simon (page 9 à 12), on n’a plus du tout envie de se faire vacciner. Mais, devant les mesures coercitives préparées par nos gouvernants, cela sera-t-il possible ? Comment faire face aux poursuites qui seront engagées contre les usagers et les professionnels de santé récalcitrants ?



Le temps n’est-il pas venu de s’organiser en vue de la création d’un vrai organe de défense ?



Pierre ANDRILLON

Rédacteur en chef de ’Votre Santé’

pa@votresante.org




--------------------------------------------------------------------------------



Cordialement,
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Catherine

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MessageSujet: Re: vaccination grippe   vaccination grippe EmptyLun 6 Juil 2009 - 16:20

Citation :
Une pandémie de grippe ou d’hystérie ?

On attendait une “pandémie” de grippe
aviaire et c’est la grippe porcine qui est arrivée. Cette grippe a déclenché une véritable “pandémie”, non de grippe
mais d’hystérie. Elle a subitement changé de nom et s’appelle à présent grippe A, car rien ne prouve que ce virus soit réellement d’origine animale, aucun animal n’étant atteint. Il s’agit d’un virus grippal de type A, un nouveau
cocktail composé de différentes souches porcine, aviaire et humaine. La recombinaison a probablement eu lieu sur le continent américain. De toute manière, tous les virus grippaux du porc viennent de l’homme. C’est lui qui a infecté le porc.
Ce virus aurait pu être créé dans un laboratoire militaire américain
Il faut garder en mémoire que ce n’est pas la première fois que règne une telle panique. Ainsi, en 1976, la première épidémie de grippe porcine s’est produite à Fort Dix, dans le New Jersey, où 200 soldats ont été contaminés
et quelques-uns en sont morts. Nombreux sont ceux qui pensent que ce virus a été créé dans un laboratoire militaire américain.
Le président Ford s’est alors fait vacciné à grand renfort de publicité devant les caméras de la télévision américaine, ce qui a entraîné la vaccination
de 40 millions de personnes. Cependant, on dénombra très rapidement
une centaine de morts et plus de 400 cas de paralysie de type Guillain-Barré, 1 300 réactions adverses telles que de sévères complications neurologiques,
des maladies de Parkinson, des inflammations articulaires et de multiples scléroses. La campagne fut aussitôt suspendue et les Américains découvrirent le scandale.
Or, les milieux officiels étaient parfaitement
au courant de ces dangers autant que de l’inefficacité du vaccin.
“Ils ont menti depuis le début en affirmant que le vaccin était efficace, alors qu’ils n’en avaient aucune preuve”,
constatait le Dr Hermann dans le National Inquirer du 2 janvier 1977, qui relata toute l’affaire. Mais tout le monde a oublié ce scandale.
Baxter International aurait peut-être créé un virus pandémique
Les rares personnes qui s’en souviennent
se demandent comment il se fait que l’épidémie actuelle apparaisse juste après que la compagnie pharmaceutique
Baxter International a admis qu’un vaccin expérimental a été accidentellement
contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire. Ce mélange de virus de la grippe humaine H3N2 et de virus de la grippe aviaire H5N1 qui n’étaient pas correctement identifiés a été envoyé à une firme autrichienne qui a expédié des portions du mélange à des sous-traitants en République tchèque,
en Slovénie et en Allemagne.
C’est le sous-traitant tchèque qui s’est aperçu du danger lorsque des furets auxquels il avait injecté le mélange sont morts, ce qui n’était pas normal après une exposition au seul virus H3N2, et signifiait qu’ils avaient également reçu le virus actif du H5N1. Des spécialistes en biosécurité se sont montrés fort préoccupés par ce mélange
de virus “qui aurait pu mener à des conséquences désastreuses et devrait être interdit”.
Si une personne exposée au mélange était infectée simultanément par le H5N1 et le H3N2, elle pourrait servir
d’incubateur à un virus hybride capable de se propager facilement d’un humain à un autre. Ce mélange de souches, appelé réassortiment, est l’une des deux manières de créer un virus pandémique. Une étude, publiée l’été dernier par des scientifiques des CDC des Etats-Unis, indiquait que dans le laboratoire les virus du H5N1 et du H3N2 s’accouplaient facilement et qu’un certain nombre de rejetons de ces deux virus semblaient conserver au moins une partie du pouvoir mortel de leurs dangereux parents.
Les autorités américaines tentent de découvrir comment la compagnie Baxter International, qui est sur le point d’obtenir une licence européenne pour un vaccin contre le H5N1, a pu produire puis envoyer à une entreprise autrichienne du “matériel viral expérimental”
basé sur une souche de la grippe humaine, mais contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire. Les autorités de quatre pays européens examinent
l’incident, et leurs efforts sont suivis de près par l’OMS et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies.
Ce n’est pas la première fois
qu’on laisse s’échapper des virus d’un laboratoire
En 2005, un fabricant américain de kits utilisés dans les laboratoires pour tester leurs capacités de détection avait associé des ampoules du virus H2N2 à des milliers de kits de test. Le virus H2N2, à l’origine de la pandémie de 1957, n’était plus en circulation depuis 1968 et il est actuellement considéré comme le principal candidat à l’origine
de la prochaine pandémie. Cette “bévue”, découverte par le Laboratoire national de microbiologie du Canada, avait amené les autorités du monde entier à un branle-bas de combat pour récupérer et détruire les ampoules
contenant le virus qui avaient été envoyées dans les laboratoires de 18 pays.
En 2006, il a été rapporté que des scientifiques créaient intentionnellement de nouveaux types d’influenzas en laboratoire, mêlant des virus aviaires aux virus porcins. Le résultat est là.
Ce nouveau virus rappelle celui qui est à l’origine d’une autre épidémie mondiale, connue sous le nom de la “grippe espagnole”, qui avait fait, selon les différentes estimations, entre 20 et 40 millions de morts en 1918. Comme lui, il était du sous-type H1N1, et, comme lui, il touchait des personnes
jeunes et en bonne santé.
La grippe espagnole s’est déclarée aux USA après des campagnes de vaccination massives dans l’armée
Il faut savoir que la grippe espagnole,
qui n’avait d’espagnol que le nom, s’est déclarée pour la première fois en 1918, dans le camp militaire de Fort Riley, au Kansas. Dans ce camp, avant leur départ pour l’Europe, les soldats furent massivement vaccinés contre des virus et des bactéries. Dans tous les camps militaires des Etats-Unis, les soldats cobayes furent inoculés contre la variole, la diphtérie, le tétanos, la rage et la typhoïde. Les médecins de l’époque notèrent qu’un grand nombre de soldats sont morts immédiatement après les vaccinations ou ont manifesté les symptômes des maladies dont ils étaient supposés être protégés.
On vaccina également la population civile et c’est après ces vaccinations de masse que l’épidémie dite de grippe espagnole s’est déclarée aux Etats-Unis, puis propagée à travers le monde, car des milliers de soldats dûment vaccinés traversèrent alors l’Atlantique.
En 2003, des scientifiques de l’armée des Etats-Unis ont recréé le virus de la “grippe espagnole” en laboratoire. Le Projet Sunshine (Sunshine Project) est une organisation non gouvernementale
qui s’est fixée pour objectif de faire respecter les interdictions en matière de guerre biologique, en particulier
les abus de la biotechnologie à usage militaire. Ce groupe a déclaré à l’époque que “plusieurs gènes du virus extrêmement meurtrier de la grippe de 1918 ont été isolés et introduits dans des souches de grippe contemporaine.
Ils se sont avérés mortels pour les souris, alors que le virus développé à partir de gènes d’un type de virus de la grippe actuelle n’avait aucun effet. Ces expériences peuvent facilement être détournées à des fins militaires, alors qu’elles fournissent peu d’avantages d’un point de vue médical ou de santé publique.”
Et d’après Sunshine : “Malgré la nature dangereuse du virus de 1918, les efforts visant à le reconstruire ont commencé au milieu des années 1990, lorsque le Dr Jeffrey Taubenberger de l’Institut de pathologie de l’armée des Etats-Unis à Washington a réussi à récupérer et à séquencer les fragments d’ARN viral à partir de tissus préservés
de victimes de 1918.”
En effet, le génome du virus de la “grippe espagnole” de 1918 avait complètement
disparu de la surface de la planète jusqu’à ce que l’armée américaine
le ressuscite récemment à partir du cadavre congelé d’une personne morte de la grippe en 1918 en Alaska. En raison de cette résurrection, le virus aviaire, qui présente des similitudes avec le virus de la grippe espagnole, et son “vaccin” menacent maintenant la santé publique.
Tamiflu et profits financiers
Loin de cette hystérie générale, certains
gardent la tête froide et en tireront de très substantiels profits. Grâce à l’affolement planétaire, l’oseltamivir
commercialisé sous le nom de Tamiflu®️, un antiviral qui se vendait plutôt mal, suscite à présent l’envie du monde entier qui veut se le procurer à tout prix.
A la demande de l’OMS, le laboratoire
Roche a annoncé que ses stocks d’urgence, destinés à faire échec à l’émergence d’une nouvelle souche virale H1N1 responsable de l’épidémie
de grippe, seront affectés aux pays désignés par l’OMS. L’ensemble des stocks est constitué de 2 millions de traitements détenus par l’OMS et de 3 millions de traitements détenus par Roche. D’après David Reddy, chef de la Taskforce antipandémique chez Roche : “Le laboratoire met tout en oeuvre pour venir en aide à l’OMS et aux gouvernements” afin de faire face à la demande croissante de ce médicament.
Nous ne pouvons nous empêcher de croire qu’il vient surtout en aide à ses finances et à ses cotations boursières
qui se portent très bien.
Cependant, l’OMS met actuellement un bémol aux propos qu’on lui prête. Son porte-parole, Dick Thomson, a déclaré à Genève : “Contrairement à une opinion trop répandue, nous n’avons jamais recommandé stricto sensu la constitution de stocks nationaux de Tamiflu. Nous avons simplement fait observer que le Tamiflu semblait doté, in vitro, d’une certaine efficacité contre le virus H5N1 et que les Etats membres se devaient d’étudier la question de la constitution de stocks de ce médicament
en fonction de leurs ressources et de leur propre analyse quant au risque d’émergence d’une pandémie grippale meurtrière.” On pourrait en déduire qu’il tient à se dégager de toute responsabilité
dans cette affaire.
Officiellement, les laboratoires Roche sont les fabricants du Tamiflu
Mais si l’on pousse l’enquête un peu plus loin, on apprend que le médicament
a été découvert par Gilead Sciences, une compagnie pharmaceutique
californienne, qui a cédé à Roche les droits de le fabriquer et de le vendre. Et si l’on cherche encore davantage, on découvre que Donald Rumsfeld, qui fut président de Gilead de 1988 jusqu’en 2001, lorsqu’il devint ministre de la Défense, détient toujours plusieurs millions de dollars d’actions.
Toutefois, comme dans les romans policiers où les gangsters se disputent au moment du partage du butin, en juin 2005, le laboratoire américain a publié un communiqué pour annoncer
sa volonté de mettre un terme à l’accord de licence passé avec Roche sous le prétexte que “Roche n’a pas déployé les moyens qui auraient permis
au médicament d’atteindre son plein potentiel sur le marché de la prévention de la grippe”. En outre, Gilead accuse le géant suisse de ne pas calculer correctement les royalties
qu’il doit lui verser et de tricher sur le montant des sommes dues. Le différend est évalué à 18 millions de dollars. Roche a répondu qu’il a investi des sommes importantes pour financer les essais cliniques menés sur près de 4 000 personnes dans le monde, et avance également que ses efforts ont réduit les ventes du Relenza de GlaxoSmithKline, unique concurrent du Tamiflu, à 10 % du marché. Il est évident que les laboratoires Roche n’ont pas l’intention de partager un gâteau aussi lucratif avec quiconque, serait-ce l’inventeur du produit.
L’efficacité du Tamiflu est loin d’être confirmée
Au moment où tous les gouvernements
stockaient des antiviraux et des millions de doses de vaccins contre la grippe en anticipant l’éventualité d’une pandémie de grippe aviaire, deux études
publiées par le Lancet ont établi que ces traitements sont bien moins efficaces qu’on ne le croyait et ont
confirmé la progression, à l’échelle de la planète, de la résistance aux médicaments
ou aux vaccins antigrippaux.
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Catherine

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MessageSujet: Re: vaccination grippe   vaccination grippe EmptyLun 6 Juil 2009 - 16:20

Citation :
Dans l’une de ces études, qui
concerne toutes les données mondiales
de ces trente-sept dernières années, le Dr Tom Jefferson, qui a participé à Rome au projet international Cochrane sur les vaccins, a conclu que “la protection
de 100 % clamée de toutes parts n’a jamais été entrevue”. Il a ainsi résumé la situation actuelle : “La meilleure stratégie consiste à se laver les mains.”
Les virus grippaux ont développé une forte résistance aux antiviraux
Dans la seconde publication, des chercheurs
du CDC d’Atlanta signalent que les virus grippaux, particulièrement ceux de la grippe aviaire, ont développé
une forte résistance aux antiviraux utilisés pour traiter les patients déjà malades. Cette résistance a beaucoup progressé depuis 2003, particulièrement en Asie. Durant la première partie de l’année 2005, 15 % des virus aux Etats-Unis résistaient contre 2 % l’année précédente. Et, d’après les chercheurs, tous les cas humains de grippe aviaire (H5N1) étaient résistants.
Pour sa part, Le Quotidien du médecin
du 26 octobre 2005 a publié une interview du Pr Bruno Lina, du laboratoire
de virologie de l’université Claude-Bernard à Lyon, qui déclarait prudemment : “Aujourd’hui, on ne dispose d’aucune preuve de l’effet protecteur
des anticorps anti-N1 contre le virus H5N1. [...] L’hypothèse d’une protection par les anticorps anti-neuraminidase
ne repose sur aucune preuve scientifique.”
Quant au Dr William Chui, maître de conférences à l’hôpital Queen Mary
de Hong Kong, il a signalé l’émergence
d’une résistance virale générale au Tamiflu au Japon, où les médecins prescrivent
couramment ce médicament pour lutter contre la grippe humaine commune. Déjà en août 2005, une étude
indépendante japonaise, menée par M. Yoshihiro Kawaoka, professeur de virologie, microbiologie et immunologie
à l’université de Tokyo, émettait l’hypothèse d’une résistance des virus de la grippe au Tamiflu, résistance qui pourrait être plus répandue que prévu. De même, les quelques cas d’utilisation
chez des personnes infectées par le virus H5N1 au Vietnam n’ont pas permis
de prévenir le décès d’une majorité d’entre elles.
Une étude publiée dans The New England Journal of Medicine du 13 août 2005 évoque des taux de résistance notablement élevés, notamment
chez l’enfant, où ils peuvent être
compris entre 8,6 % et 18 %.
Quoi qu’il en soit, non seulement
le Tamiflu n’aurait pas
les propriétés qu’on lui prête,
mais il est dangereux
Nombre de virologistes ne cachent pas leur inquiétude face aux phénomènes
de résistance qui pourraient apparaître dès que l’antiviral serait utilisé par des dizaines ou des centaines
de millions de gens, et rien ne permet d’établir avec précision ce que pourrait être, en cas de pandémie, sa réelle efficacité.
Chez Roche, on rétorque que les victimes
de la forme humaine de la grippe aviaire ont été soignées trop tardivement
et que le recul dont on dispose – notamment la récente utilisation de masse au Japon – permet d’affirmer que les cas de résistance des virus grippaux au Tamiflu demeurent très limités : de l’ordre de 0,4 % chez les adultes et 4 % chez les enfants. Roche l’affirme, mais rien ne le prouve. Toutefois, les responsables sanitaires estiment indispensable de doubler les stocks nationaux de Tamiflu avec le seul produit concurrent, le Relenza, utilisé en inhalation pour traiter la grippe.
En France, le ministre de la Santé est déjà en négociation avec la multinationale
qui le fabrique, le groupe SmithKlineGlaxo. Selon le directeur général de la Santé Didier Houssin, la France posséderait un stock de 24 millions
de doses de Tamiflu et 9 millions de Relenza.
Quoi qu’il en soit, non seulement le Tamiflu n’aurait pas les propriétés qu’on lui prête, mais il est dangereux.
Ainsi, le 14 novembre 2005, le groupe Chugaï, qui commercialise le Tamiflu au Japon, a rappelé la liste des effets secondaires connus et a signalé aux autorités des “troubles du comportement
et des hallucinations” chez les utilisateurs. Plusieurs médias ont alors rapporté qu’un lycéen de 17 ans s’est précipité sous un camion en février 2004 après avoir consommé ce médicament
et qu’un autre garçon sous traitement est tombé du neuvième étage de son immeuble.
Les effets indésirables liés au Tamiflu ne pèsent pas lourd face aux bénéfices engrangés
A son tour, The New England Journal of Medicine du 22 décembre
2005 signalait le cas de malades soignés par l’équipe vietnamienne du Dr Menno D. de Jong et traités par l’oseltamivir depuis leur admission, à la dose recommandée de 75 mg deux fois par jour. Parmi un groupe de huit patients atteints de la forme humaine de la grippe aviaire, quatre sont décédés.
Chez trois des malades décédés, le virus était toujours détectable en fin de thérapeutique, et le quatrième malade décéda le second jour du traitement, avec une charge virale croissante.
Le ministre de la Santé et du Bien-Etre japonais a demandé aux distributeurs du Tamiflu d’inclure dans leurs notices de ne pas le donner aux patients âgés de 10 à 19 ans, après l’annonce qu’au moins 18 enfants japonais avaient succombé après avoir manifesté un “comportement irrationnel”.
Toutefois, un porte-parole de l’Emea (Agence européenne du médicament) a déclaré qu’une telle mise en garde n’existait pas en Europe pour ce médicament.
“Nous savons qu’il n’existe aucun lien entre le Tamiflu et ces événements.”
C’est évident !
D’autant que la quantité d’effets indésirables
liés au Tamiflu ne pèse pas lourd par rapport aux bénéfices engrangés. Sur les trois premiers trimestres de l’année, le chiffre d’affaires annoncé pour cette seule molécule est d’environ 558 millions d’euros. Toutefois, aucune information précise n’a encore filtré sur les accords financiers passés entre Roche et les gouvernements concernés.
Sanofi-Aventis vient d’annoncer
la signature d’un contrat avec
les autorités mexicaines pour
la construction d’une usine
de production de vaccins
contre la grippe
Cet accord représente un investissement
de 100 millions d’euros. L’annonce a été faite au cours d’une cérémonie en présence de Felipe Calderon, président du Mexique, et de Nicolas Sarkozy, président de la République française, en visite offi-cielle au Mexique. Cette usine sera construite et exploitée par Sanofi-Pasteur, la division vaccins du groupe Sanofi-Aventis, qui va investir 100 millions
d’euros dans l’affaire. Elle permettra
au laboratoire de basculer aisément de la production de vaccin contre la grippe saisonnière à celle de vaccin contre la grippe pandémique. Ainsi, Sanofi-Pasteur sera certain de récupérer très largement sa mise, que le virus soit saisonnier ou pandémique.
Au pays d’Ubu
Alors que le monde entier ne parle que de cette grippe, et que la France a fait monter son niveau d’alerte au stade 5, il est risible d’apprendre que le petit Edgar Hernandez, qui a été le premier cas avéré de la fameuse “pandémie”, joue parmi les chiens et les chèvres errant dans les rues, vraisemblablement en ignorant que la grippe porcine qu’il a attrapée quelques semaines auparavant sème la terreur dans le monde. La mère de ce garçon de cinq ans a déclaré au Times du 29 avril 2009 que son fils a eu mal à la tête et à la gorge, a eu de la fièvre pendant un bout de temps, mais qu’il se sent très bien, à présent. Il vit à La Gloria dans l’Etat de Veracruz, où se trouve la gigantesque usine américaine d’élevage
porcin de Smithfield Foods qui abat quotidiennement 2 300 porcs et déverse annuellement les matières fécales et l’urine d’au moins 95 000 animaux. En outre, cette région compte de nombreux élevages intensifs de volailles. En septembre
2008, une épidémie de grippe aviaire a éclaté dans le plus grand élevage
industriel de volailles du Mexique situé dans les environs, mais elle n’a pas été révélée parce qu’on en craignait les conséquences pour les exportations mexicaines. Les quelques habitants qui ont tenté de demander des sanctions ou le départ de l’entreprise ont été menacés et poursuivis pour diffamation. L’élevage a donc pu continuer à polluer en toute tranquillité grâce aux autorités de l’Etat de Veracruz.
Il ne faut donc pas être surpris par ce mélange de virus, aviaire et porcin,
puisque l’alimentation industrielle des porcs comprend des “déchets de volaille”, c’est-à-dire des matières fécales et autres résidus.
L’effet boomerang
Nous assistons toujours au même scénario avec les modes d’élevage ignobles des poulets ou des porcs. La vache folle a été engendrée de la même manière, par un total irrespect des conditions de vie des animaux. Les très grandes concentrations animales favorisent les mutations virales, mais les leçons du passé ne profitent guère à nos pouvoirs et aux industriels, et tant que l’homme persistera à polluer la terre et ses habitants, il devra en subir les conséquences. Cela s’appelle l’effet
boomerang.
Certains “experts” osent encore affirmer
à travers les médias que l’élevage industriel est plus sûr sur le plan sanitaire.
Ils ont raison de persister dans ces mensonges puisque certains Français les croient encore.
Le président de la compagnie aérienne irlandaise Ryanair, Michael O’Leary, a résumé la situation lors d’une conférence
de presse à Madrid en déclarant : “Toute cette histoire de grippe porcine est un énorme tas d’absurdités que les politiciens adorent pour détourner l’attention des gens de la récession économique.”
Quelle que soit la vérité dans cette folie, nous pouvons être certains que la psychose qui risque de disparaître pendant les vacances d’été renaîtra par la grâce des laboratoires qui nous annonceront dès septembre que le vaccin nouveau contre la grippe est arrivé, qu’elle soit porcine, aviaire ou saisonnière.
Sylvie SIMON
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MessageSujet: Re: vaccination grippe   vaccination grippe EmptyLun 6 Juil 2009 - 16:21

Citation :
ELIANT
Vous accordez aujourd’hui votre confiance à certains produits ou services
issus de l’anthroposophie :
• Alimentation biodynamique (Demeter).
• Education “Steiner-Waldorf”.
• Médecine et médicaments anthroposophiques.
• Cosmétiques et produits de santé naturels.
Ces produits et services sont aujourd’hui menacés par le zèle réglementaire de l’Union européenne. Ces réglementations, qui étendent chaque jour un peu plus leurs champs d’application, sont certes nécessaires pour assurer la sécurité et garantir les droits des consommateurs. Toutefois, les cadres stricts qu’elles définissent, conçus pour inclure les activités économiques (industrie, agriculture, santé, etc.) actuellement dominantes en Europe, sont inadaptés à des activités plus proches de la nature et de l’être humain en tant qu’individu voulant rester libre de ses choix.
Pour que ces produits et ces initiatives puissent continuer à vivre, même si, en Europe, ils restent minoritaires dans le paysage culturel, il leur faut une certaine visibilité politique au niveau européen. C’est la raison pour laquelle ceux qui les portent se sont associés au sein de l’alliance ELIANT (Alliance européenne des initiatives issues de l’antroposophie) et ont lancé une campagne
de signatures de soutien. Nous visons un million de signatures, car ce chiffre représente le “poids minimum” pour une certaine reconnaissance de représentativité au niveau de l’Union européenne.
Vous pouvez déjà contribuer au maintien de la diversité culturelle en Europe en soutenant l’action ELIANT par votre signature.
Je vous remercie par avance très chaleureusement.
Christina NIDECKER
ELIANT,
16, rue de l’Eglise
91370 Verrières-le-Buissson.
Tél. : 01 60 11 99 58 - 06 28 20 31 52.
Signez la pétition sur l’Internet chez :
<www.eliant.eu>
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